Opéra: La flûte enchantée
Produits Laitiers...
Résumé:
Tamino est perdu. Les dames d'honneur de la Reine de la Nuit le sauve d'un méchant serpent et lui donne le portrait de Pamina, fille de la reine, prisonnière d'un méchant. Papageno, l'indien blanc, va l'aider à la retrouver mais les choses ne sont pas comme elles semblent être.
Des sensations pures.
A quoi bon faire une critique?
A quoi bon dire que Mozart est bon? Que sa musique vous transporte? Que la reine de la nuit vous emporte avec elle?
Je ne vais que signaler ici la scénographie, la mise en scéne, les décors, les costumes. En fait, tout tient à la perfection. Scène circulaire faite de cercles concentriques avec un centre, la fosse avec l'orchestre. 2 grands escaliers en spirale qui s'entrelacent et montent jusqu'aux cieux avec en leur centre une multitude de tubes métalliques. Des danseurs et acrobates qui tombent des coursives, des costumes magnifiques d'une blancheur immaculée sauf bien sûr pour la reine de la nuit.
Mais sans parler de ce que l'on voit, il faut essayer de sentir ce que l'on entend.
Ces 20 premières secondes où mes poils se hérissent, où un frisson me parcours la nuque, où l'on voit ce chef d'orchestre diriger son monde à grands battements dans l'air.
Papageno qui cherche sa Papagena.
Ces 3 enfants qui donnent des conseils à Tamino.
Et la reine qui fait son numéro. Incroyable. Une boule dans la gorge, dans le ventre. Les larmes qui montent. Effrayant!!!!!
Et à chaque fois, l'ouverture de l'acte qui va crescendo et le final qui se finit avec les choeurs.
Je n'ai jamais pris de drogue mais j'apparente ces moments là un cachet d'Ecsta ou à du LSD. Après ça, il faut redescendre. Ca demande un petit temps d'adaptation. 15mn, assis dehors, à repenser à ce que j'ai vu et entendu. Une grande claque dans la face, on voit des étoiles mais il faut revenir sur la terre des hommes en se disant que certains n'en ont pas réellement fait parti.
En résumé, better than sex!!!!
Unikokalaivendredilibrepourseukonsentraissursa
Résumé:
Tamino est perdu. Les dames d'honneur de la Reine de la Nuit le sauve d'un méchant serpent et lui donne le portrait de Pamina, fille de la reine, prisonnière d'un méchant. Papageno, l'indien blanc, va l'aider à la retrouver mais les choses ne sont pas comme elles semblent être.
Des sensations pures.
A quoi bon faire une critique?
A quoi bon dire que Mozart est bon? Que sa musique vous transporte? Que la reine de la nuit vous emporte avec elle?
Je ne vais que signaler ici la scénographie, la mise en scéne, les décors, les costumes. En fait, tout tient à la perfection. Scène circulaire faite de cercles concentriques avec un centre, la fosse avec l'orchestre. 2 grands escaliers en spirale qui s'entrelacent et montent jusqu'aux cieux avec en leur centre une multitude de tubes métalliques. Des danseurs et acrobates qui tombent des coursives, des costumes magnifiques d'une blancheur immaculée sauf bien sûr pour la reine de la nuit.
Mais sans parler de ce que l'on voit, il faut essayer de sentir ce que l'on entend.
Ces 20 premières secondes où mes poils se hérissent, où un frisson me parcours la nuque, où l'on voit ce chef d'orchestre diriger son monde à grands battements dans l'air.
Papageno qui cherche sa Papagena.
Ces 3 enfants qui donnent des conseils à Tamino.
Et la reine qui fait son numéro. Incroyable. Une boule dans la gorge, dans le ventre. Les larmes qui montent. Effrayant!!!!!
Et à chaque fois, l'ouverture de l'acte qui va crescendo et le final qui se finit avec les choeurs.
Je n'ai jamais pris de drogue mais j'apparente ces moments là un cachet d'Ecsta ou à du LSD. Après ça, il faut redescendre. Ca demande un petit temps d'adaptation. 15mn, assis dehors, à repenser à ce que j'ai vu et entendu. Une grande claque dans la face, on voit des étoiles mais il faut revenir sur la terre des hommes en se disant que certains n'en ont pas réellement fait parti.
En résumé, better than sex!!!!
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